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Avoir un coach n'est pas une maladie honteuse!

Être coaché quand on est dirigeant est soit un un luxe soit un aveu de faiblesse!


Vous l'avez compris je vous provoque. Mais c'est encore l'avis d'un bon nombre de dirigeants français.


En 2 min je vous explique pourquoi le coaching n'est ni une maladie vénérienne ni la l'équivalent de la dernière Rolex!



Le dirigeant - en ayant la position la plus stressante - est celui qui a sûrement le plus besoin de coaching !

Le dirigeant dirige. Simple non? C'est à dire que c’est lui qui prend les décisions. Petite ou de grosse entreprise, avec ou sans salariés, en profession libérale ou créateur d'une start up ..... peu importe: il est seul face à la prise de décision.


Qu'est-ce que ca change par rapport aux autres postes? Et bien la posture qui est prise en rapport à cela est de manière plus ou moins marquée souvent la même: dans le contrôle, ne veut montrer aucune faiblesse, être fort.e, parfait.e, rapide, efficace, et sur qui on peut compter .....


Hors ces masques et ces exigences engendrent d'autres problématiques:

  • le syndrome du sacrifice,

  • le déni de stress

  • le surinvestissement

  • la confusion entre son être et l'entreprise

ce qui ensuite provoque :

  • des difficultés à faire confiance

  • des difficultés à déléguer.

Ces difficultés sont en réalité presque inhérentes aux postes. Et c'est pour cela que quand on est dirigeant on a peut être encore plus besoin d'être soutenu! Paradoxe!



Le coaching pour les décideurs n'est donc pas un aveu de faiblesse mais plutôt une acceptation des responsabilités qui pèsent sur leurs épaules.




Il est difficile de mesurer le retour sur investissement (ROI) d'un coaching

Et c'est en effet pour cela que le dirigeant a du mal à investir dans le coaching. Autant il est relativement facile de mesurer l'augmentation de chiffre d'affaire suite à une formation de vente, ou l'augmentation du nombre de prospects suite à l'investissement dans une publicité sur Facebook ou dans un journal, autant mesurer l'impact financier de la prise de recul, de la sérénité, des décisions stratégiques différentes qui ont été actées et de l'ulcere que l'on a pas développé est plus compliqué !



Pourtant si l'on reprend les causes de la souffrance de la majorité des dirigeants, le coaching est en effet une excellente solution:

  • la solitude du dirigeant: la présence régulière de coachs lui permettra d'être soutenu, écouté et compris.

  • la santé : des problèmes qui sont majoritairement liés au stress. Le coaching va lui permettre de trouver un espace sécurisé où il va pouvoir prendre du recul, porter un autre regard sur ses besoins, ses envies, ses blocages et ses ressources. Tout ceci lui permettant de diminuer son taux de stress et d'angoisse.

  • le développement du leadership, lui permettant de poser ses propres limites, de motiver ses troupes et de pouvoir se sentir plus serein vis à vis de l'avenir.


Retournons maintenant au ROI: lorsque vous vous rendez chez le médecin ou chez le dentiste, pour un contrôle, est ce que vous vous posez la question de savoir quel sera votre retour sur investissement ? non. Vous le faîtes car vous savez que plus tôt seront détectés les (éventuels) problèmes et mieux se sera. Vous le faîtes car vous allez voir un spécialiste qui vous donnera des conseils pour mieux prendre soin de votre santé (en tout cas c'est à cela que ca devrait servir).


Et bien le coaching fonctionne de la même manière.



L'accompagnement en coaching permet de

prendre soin du dirigeant avant que les

(éventuels) problèmes ne soient trop avancés ...



Le coaching au lieu d'être un aveu de faiblesse, correspond en réalité à un acte de courage et de force ! Et oui c'est un investissement mais combien faudra-t-il mettre sur la table si l'entreprise subit de mauvaises décisions ou si son dirigeant coule sous la pression ?



Les dirigeants sont les piliers des entreprises. Et en tant que tels, ils se doivent de faire attention à eux, sous peine de perdre leurs joies, leurs santés .....

et leurs entreprises en même temps.




Joa et Moa





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